Imprimeur en relief

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Imprimeur en relief - les données clés

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entreprises

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employés

Parité Homme/Femme

L’imprimeur 3D

L'impression 3D ou fabrication additive ou encore impression tridimensionnelle, est l’appellation des procédés de fabrication de pièces par ajout ou agglomération de matière. L’objectif de l'impression 3D est de recréer un objet réel aux dimensions et dans la matière souhaitée, en opposition avec les méthodes actuelles d’usinage où on retire de la matière, l’impression 3D se fait par ajout de matière.

L’objet réel est d’abord modélisé par CAO (Conception Assistée par Ordinateur) sous la forme d’un fichier 3D. Ce fichier sera envoyé à l’imprimante pré-paramétrée qui va procéder à l’ajout de la matière désirée. L’impression 3D permet la réparation de pièces mécaniques, la création rapide de prototypes ou encore la création en petite séries d’outil de communication.

Le métier demande de grandes connaissances des méthodes de bureau d’étude, des compétences informatiques, une grande créativité, de la patience et de la précision.

Aujourd’hui, les sociétés qui réalisent l’impression 3D permettent à leurs clients de réduire les risques en ayant une externalisation des compétences complexes de la fabrication additive, du matériel et une grande réactivité à moindre coût. La sectorisation des sociétés se fonde sur les matières employées et employables.

L’impression 3D gagne ses lettres de noblesse dans le secteur de l’industrie, poussée par des initiatives comme la French Fab. La French Fab a vu le jour en 2017 pour promouvoir la Fabrication et l’Industrie française en accélérant sa modernisation.

L’intérêt client de l’impression tridimensionnelle

L’impression 3D permet aux clients d’avoir une flexibilité de production sans avoir le frein du coût et du volume aujourd’hui engendré par l’usinage des pièces.

La mise en relief d’une idée, d’une pièce ou d’un objet permet une meilleure maitrise des marges et une meilleure réactivité mais pas seulement, nous retrouvons l’impression 3D dans la communication, le médical, la recherche, le bâtiment, l’aviation … tous les secteurs ou l’unique, la petite série et le sur mesure font foi.

La R&D a tout de suite était séduite par la fabrication additive grâce à la réalisation facilitée de prototypes. Effectivement, auparavant les prototypes traditionnels étaient confectionnés par injection. Cette technique est très couteuse étant donné qu’il faut créer un moule et ensuite injecter la matière pour réaliser le prototype. Aujourd’hui, avec l’impression 3D même les projets au petit budget peuvent bénéficier de prototypes.

L’actuel A350 d’Airbus compte plus de 1 000 pièces imprimées en 3D. L’impression 3D a révolutionné la production de pièces, puisque les pièces imprimées de façon tridimensionnelle sont de 30 à 55 % plus légères que les pièces fabriquées traditionnellement à la main. En cela ces nouveaux processus commencent à avoir un impact sur le secteur du décolletage et de l’usinage, ces derniers, s’intéressent de très près à la fabrication additive.

Quant au secteur de la médecine la fabrication additive est très précieuse car cela permet notamment d’imprimer des prothèses spécifiques à la morphologie des personnes. En amont de l’opération, le chirurgien peut imprimer une copie de l’organe qu’il doit opérer pour mieux s’en imprégner afin d’être plus efficace.

Un marché lucratif en développement

Le marché français de la fabrication additive est boosté par la croissance du marché à l’échelle mondiale. Le marché mondial de l’impression tridimensionnelle représentait en 2014 environ quatre milliards de dollars, et il devrait dépasser la barre des seize milliards de dollars à la fin de l’année 2018. Toutefois, la France se positionne seulement à la septième position au rang mondial sur le marché de l’impression 3D, en pourcentage cela représente 3 %.

Ce développement est notamment dû à la démocratisation de la fabrication additive auprès des particuliers et à l’augmentation de l’utilisation de l’impression 3D dans l’industrie. Une étude du cabinet Deloitte expose que le volume des imprimantes 3D de bureau a augmenté de 144 % entre 2011 et 2015, alors que celui des imprimantes 3D industrielles n’a pas augmenté dans les mêmes proportions (seulement de 17 % sur la même période donnée).

Cependant, si le volume d’imprimante 3D de bureau vendues est très important, il faut noter que leur valeur est beaucoup moins importante que la valeur des imprimantes tridimensionnelles industrielles. Sur les 4,8 milliards de dollars que représente le marché de la fabrication additive, les imprimantes de bureau ne pèsent que 300 millions de dollars sur ce marché.

Les métiers de l'imprimerie en relief utilisent diverses techniques d'impressions telles que la fléxographie

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